|
|
L'HOMO SAPIENS, un
animal dénaturé
RESUME
:
Jusqu'à la fin du siècle dernier, l'homo sapiens
était encore fier des progrès qu'il avait
réalisés depuis le XIXe siècle. Paradoxalement,
c'est durant les deux ou trois siècles
précédents, que des explorateurs et des
aventuriers européens ont rencontré des sociétés
aux mœurs tout à fait différentes. Elles
n'existent quasiment plus nulle part, et
aujourd'hui, un nombre non négligeable de
citoyens se demande, un peu tard, si à côté de
ces « sauvages », nous fumes si sages et si
savants que ça !
Téléchargement
chapitre 1
|
|
Journal d'un
anthropophobe
RESUME
:
Anthropophobe : du gr.
Anthrôpos, homme, et phobos, crainte.
Qui a peur des hommes. (Larousse du XXe
siècle, 1928).
À ne pas confondre avec misanthrope, du grec
misein, haïr, avoir de l’aversion
pour.
Parmi tous les vivants, seuls les hommes font
vraiment peur.
Devant la Nature, chacun doit faire preuve de
vigilance et d’attention.
Seul l’homme est imprévisible. Par on ne
sait quel hasard, il s’est affranchi des
limites fixées par l’harmonie cosmique. Il ne
cesse de construire ses propres pièges, par
une foi exagérée en lui-même et une prétention
démesurée. Il prolifère, de plus en plus
omniprésent, oppressant. Il m’a toujours fait
peur.
Et plus il joue les apprentis sorciers, plus
il me fait peur.
|
|
Imprécations contre les
procréateurs
RESUME
:
"Bienheureux les stériles"
n'est pas à mettre dans toutes les têtes, mais
seulement dans celles de ceux qui ne croient
pas plus en Dieu qu'au progrès. A l'instar de
Diogène, de Caraco ou de Cioran, ils savent
que rien ne peut justifier l'existence. Comme
Schopenhauer, ils ont réalisé que dans le
bilan de toute vie, les profits sont loin de
couvrir les pertes. Mais Dieu n'est pas encore
tout à fait froid, qu'un nouveau tyran, la
Télévision a déjà pris le relais de
l'abrutissement des masses. Il était donc
urgent de tirer de "Bienheureux les stériles"
ces "Imprécations" afin qu'elles tentent de
couvrir par leur véhémence, par leur démesure
même, la voix hypnotisante de ce nouvel opium
du peuple. Sur toutes les scènes, sur toutes
les places, dans toutes les rues... Afin que
nul n'ignore que la procréation est un crime
indigne d'un être pensant. Quand bien même
l'Espèce Humaine devrait-elle s'éteindre !
|
|
Quel dégoût !
RESUME :
Certes le monde n’est pas
simple. Mais il y a des limites à
l’incohérence. Pourquoi l’homo sapiens ne
cesse-t-il de saccager son environnement où
des milliards d’autres êtres vivants ne lui
ont rien demandé ? Et cet imbécile s’en
prend maintenant à lui-même. Après les souris
et les porcs, il veut
s’ « améliorer » grâce à sa
dernière manie, la cybergénétique. Encore un
cataclysme de plus en perspective. Le
développement extravagant de la « science
sans conscience » et l’expansion
démographique incontrôlable semblent,
inéluctablement, mener l’humanité vers sa fin.
Le grotesque de cette situation, défiant même
l’imagination, est un véritable enchantement.
Il transforme le dégoût en dérision :
c’est le rire du diable.
|
|
Pourquoi mettre au monde
dans un monde qui se fout du monde?
RESUME :
Les dix mille dernières années de
l'Histoire de l'humanité furent autant de pages
écrites en lettres de sang. Et, depuis un à deux
siècles, nous oeuvrons avec une constante
incohérence, à notre sinistre fin : pollutions
extrêmes de l'air, des terres et des mers,
changements climatiques, atteintes constante à
la biodiversité, immigrations massives,
surpopulation insoutenable, intoxications par
les industries alimentaires et pharmaceutiques,
abrutissement politico-médiatique, zombification
par des drogues de plus en plus délétères et par
les connexions tous azimuts, gigantesque bulle
financière prête à exploser... Mais tout cela
est dérisoire à côté du monde qui se dessine
devant nos yeux effarés : des hommes augmentés,
se prenant pour des dieux asservissant une masse
de sous-hommes !
Téléchargement
|
|
Conspiration Malthusienne
RESUME :
L’état délétère du monde actuel ne
serait-il pas le signe d’un complot cherchant à
réduire drastiquement la population de la
planète ? Il est logique que, compte tenu de la
raréfaction dramatique des ressources, les
oligarques de la finance mondiale ne jugent pas
durable le système d’Etat-providence à l’œuvre
dans la plupart des pays européens. D’autant
que, la notion de partage, un slogan démagogique
très utile aux politiciens à leurs bottes, est
aux antipodes de l’idéologie de ces élites
multimilliardaires. .
En savoir plus - Lire un extrait - Téléchargement
|
|
Testament
pour asticots
RESUME :
« Testament pour asticots » est
un recueil de textes de poésie libre où la
mise en ligne en révèle le rythme, ce qui
signifie qu’ils sont d’abord conçus pour
être lus à voix haute, voire proférés. Ces
textes sont d’inspiration gnostique,
c’est-à-dire fondés sur une vision du
monde foncièrement pessimiste. En fait,
ils expriment une nouvelle gnose,
éclairée par le bouddhisme et le taoïsme, qui
savent si bien fondre les contraires dans
le Tout, jusqu’à tenter de saisir l’impensable,
grâce à la physique quantique, afin de
mieux comprendre l’univers, et donc la
vie, sans aucun recours à une divinité
anthropomorphique
quelconque.
En savoir plus >
- Lire
un extrait >
|
|
Bienheureux
les enfants de la mère
RESUME :
Pourquoi ces lendemains
malsains ? Parce qu’il y a sept mille
ans, les dieux mâles ont usurpé le pouvoir des
grandes déesses Mères. Les sociétés
matrilinéaires étaient des sociétés de
réciprocités, elles ne permettaient pas
l’acquisition d’un pouvoir politique ou
l’avènement d’une classe dirigeante. Elles
vivaient en communautés avec des rituels
de redistribution qui n’excluaient personne.
L’existence humaine n’y était pas séparée
des cycles d la nature, et il n’y avait donc
pas, comme dans les sociétés
patriarcales, de conflit entre Culture et
Nature.
Lire son sommaire >
- En savoir plus >
|
|
Bienheureux
les stériles
RESUME :
«
Bienheureux les stériles » n’est pas à mettre
dans toutes les têtes, mais seulement
dans celles de ceux qui ne croient pas plus en
Dieux qu’au progrès.
À
l’instar de Diogène, de Caraco ou de Cioran,
ils savent que rien ne peut justifier
l’existence.
Comme
Schopenhaueer, ils ont réalisé que dans
le bilan de toute vie, les profits sont
loin de couvrir les pertes.
Lire son sommaire >
- En savoir plus >
|
|
Une
bien trop longue punition
C'est un euphémisme, une coquetterie, la
fin d'automne est déjà derrière moi, je
suis entré depuis peu dans l'hiver. La plupart
de ces nouvelles sont des souvenirs
fugaces, des petits morceaux effilochés de la
vie, qui perdent d'autant plus
d'importance que l'on s'apprête à la quitter.
Pourquoi sont-ils encore là en mémoire
alors que l'on a remisé dans l'oubli des
pans entiers de l'existence ?
En savoir plus >
- Lire
un extrait >
|
|
Traité
de savoir survivre
Pourquoi depuis dix mille ans,
dans les sociétés humaines ne règnent que
l’abus de pouvoir, la violence et la
corruption ? Pourquoi les
« Trente glorieuses » n’ont-elles duré
que trente ans ? Pourquoi
aujourd’hui de plus en plus de jeunes
craignent-ils pour leur avenir ?
Pourquoi malgré les mises en garde, restons-nous
si passifs face à un tel acharnement
contre notre Mère la Terre ? Pourquoi notre
science est-elle à ce point « sans
conscience » ? Pourquoi nous
laissons-nous endoctriner par les médias à la
solde des Maîtres de ce détestable nouvel
Ordre Mondial ? Nous devons nous prendre en
charge, et nous ne pouvons le faire qu’à
plusieurs, même si c’est à quelques uns,
et autour d’un projet même s’il est limité.
Quant à la résistance non-violente, elle
est à la portée de tous, par le simple boycott
de tout ce qui n’est produit que par la
spoliation, l’exploitation de la mort.
En savoir plus >
- Lire
un extrait >
|
|
Journal
incorrect
RESUME :
2005-2008. La presse écrite, et surtout
les journaux télévisés, transmettent
tellement de bêtises et de non-sens qu'on se
demande comment le peuple français ne les
a pas complètement boycottés. A quelques
nuances près, tous les journaux sont dans
le même consensus, dans la même pensée
unique, ce qui ne correspond en rien à la
diversité d'opinion des Français. « A la
télévision, il y a trop de gens qui regardent,
on ne peut pas dire la vérité » disait
Coluche. Il s'agit donc de marteler encore et
encore ces mots interdits par la pensée
molle des médias surpuissants, quand ce
nest pas par la loi elle-même, pour
rappeler leur existence et les faire
revivre, afin qu'ils nous réveillent.
En
savoir plus > - Lire
un extrait >
|
Les proférations
|
|
Vous êtes
la (le) ème visiteur
|